Ironman Zurich : une première sur label Ironman
Voilà, l’Ironman de Zurich, c’est fait :) Après Roth et les trois triathlons extrêmes, c’était donc mon premier triathlon "label" Ironman. Un petit mot d’abord sur l’organisation : c’est vraiment très, très bien rodé, avec des années d’expérience. Le lac est superbe, le parcours vélo varié et le marathon passe dans la vieille ville, ce qui est vraiment sympa.
Le seul gros point négatif — si on excepte le prix de l’inscription — vient de la ville de Zurich : se garer est un vrai casse-tête. Si vous y allez en voiture, évitez un logement en centre-ville comme nous :)
🏁 Avant-course
Cette année, la préparation s’est très bien passée — un grand merci à Axel pour les entraînements. Malheureusement, la course ne s’est pas déroulée comme espéré. L’objectif était de partir prudemment en vélo pour assurer un marathon solide ensuite.
🏊 Natation
RAS au niveau de la natation : 1h05 pour 3 950 m (je visais 1h pour les 3 800 m annoncés).
Lien de la séance
🚴 Vélo
Au premier tour vélo, beaucoup me doublent, mais je maintiens le plan : gérer. Au début du deuxième tour, tout va encore bien. Puis je décide de manger mon casse‑croûte… que j’avais pris dès le départ. Avec la chaleur, le beurre contenu dedans ne passe vraiment pas.
Résultat : gros coup de chaud, hypo (plus rien ne passe), ça devient dur. À un moment, j'envisage même d'arrêter... Je m'oblige à relativiser vers la fin du vélo : peu importe le chrono, je suis là pour prendre du plaisir.
Lien de la séance
🏃 Marathon
Au début du marathon, le sandwich passe enfin. La suite se déroule relativement bien, malgré un léger écœurement. Le dernier tour est très long et je termine épuisé, mais satisfait d’avoir bouclé la course.
Au classement : 303ᵉ sur 1 626 au départ, 1 308 finishers en moins de 16h. J’espérais un peu mieux, mais c’est tout de même correct.
Lien de la séance
📝 Leçons tirées
- Éviter les sandwichs au beurre quand il fait chaud ;)
- Profiter pleinement des ravitos personnels de l’épreuve.
- Ne pas se prendre la tête avec les temps : on n’est pas des pros, et un imprévu peut vite survenir.
- Ne jamais partir trop confiant sur un Ironman.
Merci à Marie, Thierry et Catherine qui, une fois de plus, ont été une superbe "ironteam" :) Et merci à tous pour vos encouragements ! Merci aussi à Altra Running pour le soutien.
Je termine la saison un peu frustré, la course ne pouvait pas se finir comme ça ^^. Il y aura sûrement une suite...
P.S. : Bravo à Nicolas qui, pour son premier Ironman, a super bien géré sa course !